En regardant d’un peu plus près, je constate que lorsque je me sens très mal….quand j’arrive au fond du fond, que j’en ai plus que ras-le-bol, je lâche ! En fait ce n’est pas mon mental/égo, mais mon cœur qui enfin se libère. C’est lui qui demande de l’aide, c’est lui qui désire avancer, qui veut que cette situation change.

Comprenez-vous la différence entre le VOULOIR s’en sortir, VOULOIR ne plus souffrir ? Vouloir est une action intellectuelle, c’est le mental qui réclame. À ce moment-là, on est dans un état de souffrance qui fait que nous pleurons sur vous-mêmes. On se sent victime de cette souffrance, mais plus on se plaint à soi-même ou aux autres, plus on est mal. L’avez-vous déjà constaté ? Le désespoir d’une guérison entretient les liens de cette maladie ou de cette affliction, plus on y pense et plus on nourrit ces chaines. Du coup, on s’enfonce encore et encore…. Jusqu’au DÉCLIC.

Le cœur s’abandonne à la vie, il fait confiance, il ouvre une porte sur le bien-être. Le cœur accepte que la vie soit ainsi faite. Le cœur sent que cette souffrance est attachée à un vécu, aux expériences que nous avons faites ou lues. Si je nourris ce lien, c’est OK, aujourd’hui je ne suis pas en mesure d’accueillir cette douleur. J’ai besoin de me plaindre OK, acceptez-le, mais dès que vous le sentez, zappez sur une image de bien-être, un joli souvenir. De cette façon, vous changez votre vibration.

Changer d’énergie nourrit tout notre être, après avoir pris 3 grandes respirations, je focalise mon attention sur une chose qui me fait sourire. Je sens mon corps se détendre mon cœur s’ouvrir. Ressentez-vous la différence avec le VOULOIR ?

J’apprends à me faire du bien et ça marche.

J’espère que mon expérience vous donnera une clé pour avancer le cœur léger.

Bisous mes p’tits loups.

Syl