1000 ans d’histoire en 2 lignes.

Bon, OK, un peu plus de 2 lignes… 😊

L’an 1000.

Au moyen âge c’était les hommes forts de l’église catholique (en occident) qui décident de ce qui est réel ou pas, bien ou mal.

Ils influencent la populace, selon leurs dires tout est régi par DIEU ou le DIABLE .

Aucun changement de classe n’est permis, votre père est aristo, vous le serez aussi, il est agriculteur, vous serez agriculteur !

Le but de l’homme est la recherche de son salut... Enfer ou paradis ?.

XIVe / XVe siècle.

Les ecclésiastiques dérogent à la règle, moins de chasteté, acceptent l’argent en veux-tu, en voilà, apprécient le pouvoir, ferment les yeux lorsque les hommes d’État violent les saintes écritures…

Hommes d’église corrompus = Rébellion.

Dans le même temps, les astronomes contredisent ce sacerdose quand ils découvrent que c’est la terre qui tourne autour du soleil et de son axe et non pas l’inverse.

Autrefois, tout était la faute du DIABLE ou de DIEU, les orages, les maladies etc.etc… Maintenant que l’église est affaiblie, on commence à se faire sa propre opinion, on perd ses repères et la peur envahit les esprits. Pour se rassurer, un nouveau système montre le bout de son nez basé sur la science. Mais elle n’a pas pu expliquer l’existence de Dieu ni l’objet de la vie humaine.

Un grand vide s’installe et génère l’angoisse, alors on augmente son niveau de vie et sa sécurité pour combler cette vacuité.

Sécurité économique et sécurité physique pour remplacer la sécurité spirituelle d’antan.

Personne n’a pu expliquer notre raison de vivre, pourquoi sommes-nous sur terre ?

Alors l’homme préfère s’étourdir par le travail, il s'efforce à s’occuper l’esprit pour éviter de penser au but de son existence.

Cette évolution était nécessaire, mais ce temps est révolu. Maintenant nous cherchons un équilibre qui nous ramène à la spiritualité.

Vision très simpliste du moyen âge à nos jours, qui explique tout de même comment nous en sommes arrivés là.

Comme d’hab, ce n’est que ma vision des choses, à vous de vous faire la vôtre.

Bisous.

Syl